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pourquoi, il me vient des scintillantes multitudes des cieux le sentiment d’une protection et d’une paix infinies. C’est là, je le crois, dans les éternelles et vastes lois de la matière, et non dans les soucis, les crimes et les tourments quotidiens des hommes, que ce qu’il y a de plus qu’animal en nous doit trouver sa consolation et son espoir. J’espère, ou je ne pourrais pas vivre. Et ainsi se termine mon histoire, dans l’espérance et la solitude.