C’est une chose extraordinaire de pénétrer dans un temple paroissial en ce moment, de remarquer la chaire, les préparatifs ordonnés pour les auditeurs, les proclamations sur les portes, de s’asseoir un peu sur le mur de pierre parmi les tombes du cimetière et de contempler le confortable vicariat, tout en réfléchissant que c’est là précisément la représentation locale d’une organisation universellement présente par la communion des idées ; que par toute l’Europe il y a des chaires semblables, des possibilités semblables de se réunir et de causer, et que personne ne se réunit et que personne ne cause.
Elle exprime le sentiment patriotique, peut-être pacifique, mais rien qui puisse permettre à quelqu’un d’agir, rien qui puisse assembler, vouloir et faire une fin.
Il est étrange de s’asseoir au soleil, réfléchissant à tout cela et songeant de
