(ou sanglier ?) en pâte, parfois avec la farine tirée de la dernière gerbe. (Cf. Hérodote.) On le met sur la table. Mais on ne le mange qu’au printemps, au moment des semailles.
En Esthonie on tue un porcelet à la Noël, on le rôtit, et il reste plusieurs jours sur la table.
Corn Spirit known as « Poor man », « Poor woman ».
Seuphonia (à propos de Dionysos)
Porc, consacré à Démèter ? Des porcs sont tombés dans le gouffre où était entraînée Proserpine ? (source ?) Aux Thesmophories, on jetait des porcs dans des cavernes où vivaient des serpents (?)
Black Demeter (?)
Contes indiens ayant pour thème la croyance que les
animaux qu’on mange ressuscitent si on traite leurs os
selon une certaine méthode. Cette méthode est enseignée
par une tribu vivant tantôt sous forme humaine, tantôt
sous forme animale (saumons, chevreuils) et se nourrissant
de ses propres enfants.
Edda (en prose), source de l’histoire scandinave de Balder,
fils d’Odin.
Frazer. When the god is a corngod, the corn is his proper
body ; when he is a vine god, the juice of the grape
is his blood ; and so by eating the bread and drinking
the wine the worshipper partakes of the real body and
blood of his god. (Homeopathie magic of a flesh diet.)
Aztecs mangent le Dieu Vitziliputzli sous la forme d’une pâte de maïs modelée à l’image d’un Dieu et consacrée par une cérémonie la transformant en la chair du Dieu.
Supposition de Frazer concernant les prêtres châtrés de Cybèle, qu’elle avait besoin de leur force Virile pour la résurrection d’Attis et de la nature.
Pour travailler en nous, Dieu a besoin que nous lui offrions notre énergie vitale, que nous la mettions à sa disposition.
Attis. Baptême dans le sang d’un taureau, purification et nouvelle naissance, à l’équinoxe du printemps, date de la mort et de la résurrection d’Attis. (?)