Tropismes. Le scorpion d’eau (?) Ranatra, sorti de l’eau, feint la mort. On le ranime en faisant mouvoir une lumière devant lui. Après quelque temps il la suit. Si la source lumineuse dégage une grande chaleur, il s’en approche jusqu’à ce que la chaleur le fasse tomber en défaillance. Des Ranatras presque tués par la chaleur d’une lampe emploient leur dernier reste d’énergie vitale à se traîner un peu plus près d’elle.
Transpositions. Les Sirènes ne proposent pas à Ulysse le plaisir, mais la connaissance. Il y a beaucoup à parier que c’est aussi le fond des discours de séduction les plus grossiers de n’importe quel gamin de 20 ans à n’importe quelle gamine de 16 (Cf. chez Renault, photographies). C’est toujours le bien qui est proposé. Nul n’est méchant volontairement. Cette parole indique, non une identité, mais une analogie entre le péché et l’erreur.
[Apocalypse — L’épouse de l’Agneau est vêtue de lin. Le lin est la justification des justes.
L’Agneau, qui a sept yeux, i.e. les sept esprits de Dieu, ouvre le premier sceau. Vient un cheval blanc, et le cavalier a un arc, et on lui donne une couronne, et il s’en va vainqueur (6,2) — Un cheval rouge, et le cavalier reçoit le pouvoir de faire disparaître la paix, et une grande épée — Un cheval noir, et le cavalier a une balance — Un cheval livide (χλωρός) et le cavalier a nom Mort et tue par l’épée, la faim, la mort et les bêtes sauvages.
Plus loin (19,13), le cavalier du cheval blanc est nommé πιστός, ἀληθινός et ὁ λόγος τοῦ θεοῦ — et il a un vêtement sanglant. De sa bouche sort un glaive à double tranchant.
À la fin un des 7 Anges porteurs des vases où étaient les plaies suprêmes mesure la Jérusalem nouvelle. Il dit à Jean agenouillé : Vide ne feceris… conservus tuus sum — Deum adora. Mais plus loin : Ego sum α et ω … Ego Jesus.
Εγὼ εἰμὶ ἡ ρίζα καὶ τὸ γένος Δαυίδ, ὁ ἀστὴρ ὁ λαμπρὸς ὁ πρωϊνός — ]