J’ai été très heureuse d’apprendre que Mme C. est la marraine de Sylvie.
Good-bye, darlings, God bless you.
Simone.
Vous aurez vu sans doute dans les journaux qu’il est arrivé ici un de mes bons copains syndicalistes de jadis, G.
P.-S. — J’aimerais pouvoir vous donner des détails sur mon travail, etc. — Mais vraiment il vaut mieux attendre le moment où je pourrai vous raconter tout cela de vive voix. Sachez seulement que je n’ai pas de responsabilités pratiques. Je préfère cela.
Il y a longtemps, j’ai l’impression, que je n’ai pas eu de nouvelles… un câble il y a quinze jours, c’est vrai (auquel j’ai répondu), avec « very happy » (ça fait du bien, même si on y croit plus ou moins). Mais la dernière lettre datait du 15 mars… Qu’est-ce qu’ils doivent manger comme lettres, les requins de l’Atlantique ! Je me demande s’ils digèrent bien les nôtres ? J’espère qu’elles leur procurent une éducation esthétique, etc., et qu’ils apprécient bien mieux les paysages sous-marins ensuite.
Ici tout continue à aller tout à fait bien pour moi. C., qui s’était absenté quelque temps de Londres, vient de revenir. J’en suis bien contente. C’est un vrai copain, et vous savez combien ces mots signifient pour moi. C’est une chance pour moi d’avoir affaire à lui pour mon travail. (Je ne vois presque jamais A. Ph.)