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MM. Durieux et Bruyelle citent plusieurs chansons sur les avocats, dans leur recueil sur le Cambrésis, mais celle-ci, bien connue à Paris, ne s’y trouve pas.
Cette ronde demande un nombre impair. Un tourne en se tenant par la main jusqu’à Saute l’avocat, où la chaîne se rompt ; chaque fillette tend les deux mains à sa voisine de droite ou de gauche, avec laquelle elle tourne durant le refrain. Le nombre des danseuses étant impair, il en reste toujours une sans partenaire : c’est l’avocat de paille, qui tourne tout seul et donne un gage.