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La ferme et le cottage, les meules qui se confondaient, les grandes branches qui dans le verger s’entrelaçaient et se croisaient, sommeillaient, baignés de lunes. Au-dessous dormait la tache d’ombre d’un noir violacé. Seule l’effraie suivait sa route silencieuse, semblable à un esprit malfaisant, comme un fantôme du péché.