Page:Walpole - Le chateau d'Otrante, partie 1, trad Eidous, 1767.djvu/10

Cette page a été validée par deux contributeurs.
x
PRÉFACE.

de modeſtie, que le plan étoit ſuſceptible d’un plus grand nombre d’embelliſſemens que ſon imagination n’a ſçu lui en donner.

À l’égard de la conduite des domeſtiques, j’ajouterai ici quelques mots à ce que j’en ai dit dans ma première Préface. La naïveté de leur conduite dont le Lecteur ne peut preſque s’empêcher de rire, & qui paroît incompatible avec un Ouvrage auſſi ſérieux que celui-ci, m’a paru préférable à toute autre qu’on eût pu leur donner. Je n’ai jamais perdu la Nature de vue. Quelque graves & quelque importantes