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AU CAFÉ


À celle du 30 octobre


— Depuis un mois, mon en allée,
Je t’attends en vain chaque soir
Dans ce Café je vais m’asseoir,
Où tu venais, emmitouflée.

Je t’attends et tu ne viens pas ;
Si tu savais combien j’en pleure !
J’y retournerai tout à l’heure
Et je te parlerai tout bas.