Page:Waller - La Flûte à Siebel, 1891.djvu/43

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Givrez-vous de nuit, mes prunelles !
L’Ange blanc s’est enfuie un soir.
Glacez-vous, je ne veux plus voir
Que des ombres sempiternelles !