Page:Waldor - L’Écuyer Dauberon ou l’Oratoire de Bonsecours, Moutardier, 1832.djvu/26

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
8

la route le seigneur Dauberon, rejetons nos pensées en arrière de plusieurs années : voyons Alide enfant, puis jeune fille, et apprenons pourquoi elle ne pouvait épouser avant un an le bel écuyer qu’elle nommait son fiancé.