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taches, une réponse longue à trouver apparemment, lorsqu’un léger coup fut frappé à la porte. « Qui va là ! dit Gertrude en s’avançant.

— Alix.

— Ah ! tu peux entrer. Que veux-tu, mon enfant ?

— C’est le cheval du seigneur Dauberon que l’on ramène à l’instant de Melun, où il l’avait laissé. Le vieillard qui vient de le conduire ici m’a dit : Alix ! (car il savait mon nom) Alix, montez, je vous prie, avertir le seigneur Xavier Dauberon que Ralph serait à présent de force à lutter contre le meilleur coureur anglais ; mais que, quelle que soit son agilité, il ne pourra faire que son maître arrive à temps pour le coucher du roi, s’il tarde encore…

Quel est cet homme si bien instruit ? dit Gertrude avec humeur.

— Je ne le connais pas…