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HENRI ALLORGE
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Bibliographie. — Poésie : Poèmes de la Solitude (Éditions de la Revue des Poètes, Plon-Nourrit, Paris, 1901) ; — Quatre Rondels Louis XV, plaquette in-4o avec illustrations de M. Edmond Rocher, tirée à petit nombre (1905 ; hors commerce) ; — L’Ame ’Géométrique, poésies, avec une lettre-préface de M. Camille Flammarion (Plon-Nourrit, Paris, 1906) ; — Le Clavier des Harmonies, transpositions poétiques d’impressious musicales (Plon-Nourrit, Paris, 1907) ; — Mélodies [La Chanson du Chevrier, Berceuse Marine, La Machine à coudre), musique de M. Prudent Pruvost (B. Roudanez, Paris) ; — Comme au temps joli des Marquises (Plon-Nourrit, Paris, 1908) ; — Solfèrino, poésie dite par Mlle  Madeleine Roch à la fête du Cinquantenaire de Solfèrino, à la Sorbonne, le 27 juin 1909 (Plon-Nourrit, Paris, 1909) ; — L’Essor Éternel, poésies, ouvrage couronné par l’Académie française [prix Davaine] (Plon-Nourrit, Paris, 1909) ; — La Splendeur douloureuse, poésies, ouvrage couronné par l’Académie française (Plon-Nourrit, Paris, 1912-1913). — Théâtre : Les Ailes de l’Ame, un acte en vers (Société Moderne d’édition, Paris, 1910). — Prose : Le Général Ordonneau [1170-1855], étude historique d’après des documents inédits, en collaboration avec M. Albert Terrade, avec illustrations et plans (Emile Paul, Paris, 1904) ; — L’Œuvre du Père, roman {Écho de Paris) ; — Le Mal de la Gloire, roman (Sansot, Paris, 1913).

M. Henri Allorge a collaboré à la Revue Idéaliste, à la Revue des Poètes, au Magasin Pittoresque, au Penseur, au Rappel, au XIXe Siècle, au Figaro Illustré, à la Revue Maurice, à la Revue Verte, à Messidor, à Simple Revue, à la Renaissance Contemporaine, au Soleil du Dimanche, au Supplément du Petit Journal, à la Nouvelle Revue, etc. Il est secrétaire de la rédaction de la Renaissance Contemporaine.

Né à Magny-en-Vexin (Seine-et-Oise) le 20 mars 1878, M. Henri Allorge fit de brillantes études au lycée Hoche, à Versailles. Après avoir préparé l’École Polytechnique, à laquelle semblaient le destiner des succès remportés au concours général, dans les mathématiques, il passa sa licence es lettres, s’égara quelque temps dans le journalisme et entra finalement dans l’administration. Il a publié plusieurs volumes de vers, dont deux, L’Essor Éternel et La Splendeur douloureuse, furent couronnes par