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Que tel soit mon destin, et ma part est trop belle !
Je n’en voudrais pas plus et n’en rêve pas tant.
Aussi, loin d’écarter mon néant, je l’appelle :
Oh ! oui ! puisse aujourd’hui, tout à l’heure, à l’instant,
La France s’élancer de victoire en victoire,
Puisse — son fier triomphe à jamais établi —
Mon nom être englouti dans ce torrent de gloire.
Et mon livre inconnu se perdre dans l’oubli !
(Refrains militaires.)