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— Morte, il faudra te taire !…
Les nonnes ont pleuré…
Mais moi, je suis la terre,
Et, morte, je t’aurai !
— … Ton aubade me touche,
Je veux ce que tu veux…
Tiens donc, baise ma bouche,
Et sois mon amoureux ! »
Ainsi chanta Miette…
(Miette et Nori.