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CHAPITRE VI

L’ART SACERDOTAL


Quelques mois après la parution des premiers témoignages sur le Palladisme, sous la signature des témoins que nous avons déjà examinés, une nouvelle contribution a été apportée à la littérature sur le diabolisme associé à la franc-maçonnerie, par un ouvrage intitulé La Franc-maçonnerie, synagogue de Satan. La haute position ecclésiastique de l’auteur, Mgr  Léon Meurin, jésuite et archevêque de Port-Louis sur l'île Maurice, a donné un nouvel élan et un aspect de plus en plus important aux accusations portées au début, comme nous l’avons vu, par des écrivains relativement obscurs ou clairement suspects. De plus, l’ouvrage était apparemment si savant, à certains égards si négligé, et pourtant si méthodique, qu’il devint par la suite une source de référence universelle de la littérature anti-maçonnique.