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CHAPITRE V

LA DÉCOUVERTE DE M. RICOUX


En 1891 à Paris, les révélations maçonniques étaient devenues trop nombreuses pour que quelqu’un puisse plus ou moins attirer l’intérêt d’un public volatile, à moins qu’une nouvelle horreur ne vienne le capter. Mots de passe, signes et catéchismes, tous les projets et la meilleure moitié des secrets : tout le monde en dehors de la fraternité qui s’intéressait à la maçonnerie et s’occupait théoriquement de l’initiation les connaissait ou croyait les connaître. La littérature anti-maçonnique devint un produit de consommation courante, manquant de nouveauté dans les révélations. Le dernier ouvrage de Léo Taxil était une contribution visant à combler ce manque. Il était déjà en quelque sorte le découvreur de la « franc-maçonnerie féminine », c’est-à-dire qu’il était la seule personne à affirmer sérieusement que ce système discrédité