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dans la franc-maçonnerie palladique, il n’aurait pas pu ne pas en faire usage dans un volume intitulé ainsi. L’œuvre en question concerne cependant les solennités célébrées dans les temples maçonniques, avec les noms et adresses de toutes les loges françaises, de sorte qu’il s’agit d’un annuaire autant que d’une révélation, avec l’organisation politique des Carbonari, avec les Juges-Philosophes, et certains documents officiels de la franc-maçonnerie.

Mais il se peut que ceux de mes lecteurs, qui connaissent de près les révélations de Léo Taxil, aient été informés de son projet de publication et que le Palladium serait divulgué en temps voulu lorsqu’il traiterait de la franc-maçonnerie androgyne ou d’adoption. Passons donc à son ouvrage suivant intitulé Les sœurs maçonnes, ou la franc-maçonnerie des dames, paru en 1888 et dans lequel nous rencontrerons certainement le diabolisme et aussi le palladisme, mais pas en relation avec Albert Pike ou le Directoire Central de Charleston. Dans le premier cas, il est fait référence à des pratiques qui existeraient dans le rite d’adoption égyptien, appelé rite de Cagliostro,