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antécédents familiaux, elle s'abaisse à fausser le sens des textes imprimés. Les adorateurs de Lucifer sont représentés comme appelant invariablement leur divinité le « Dieu-Bon » ou « notre Dieu » pour le distinguer du dieu des adonaïtes, ainsi elle remplace faussement les références faites par Philalethes à la divinité dans l’Introitus apertus par ces équivalents lucifériens, créant ainsi dans l’esprit de l’ignorant une impression qu’il ne parle pas du vrai dieu. Après cela, mes lecteurs ne seront guère surpris qu’une prétendue traduction d’un manuscrit de Gillermet de Beauregard, qui, selon elle, doit être conservé dans les archives du Conseil Patriarcal Souverain de Hambourg, est tout simplement plagié du texte Instruction sur la vérité sur l’histoire des frères de la Roze-Croix, de Gabriel Naudé, qui a ridiculisé et insulté cet ordre. Je conclus que, compte tenu des faits déjà exposés, il ne vaut pas la peine d’enquêter sur la valeur de l’épisode relatif à l’assassinat judiciaire de l’archevêque Laud et de faire valoir de manière détaillée qu’Oliver Cromwell aurait été la dernière personne