à Madras, sur le chemin du retour, de la petite vérole, en même temps que son épouse et ses enfants ; mon frère aîné, Joseph, est toujours en vie. » On présume donc que l’histoire de Carbuccia sur l’étrange décès qui s’est produit en sa présence dans une loge maçonnique est sans fondement, mais j’estime que le résultat est négatif, car il est insuffisant. Je mets maintenant d’autres moyens en jeu, mais comme il ne s’agit pas d’un cas révélateur, ni d’un événement dont le Dr Bataille prétend avoir été témoin, il est inutile d’attendre.
Si le lecteur jette un coup d’œil sur les différentes sections du sixième chapitre, il trouvera que l’une des plus importantes est celle intitulée « Les sept temples et un sabbat au Shéol », où le Dr Bataille nous dit qu’il a été témoin d’opérations de magie noire inouïes faites par des maçons palladistes et des fakirs diabolisants. La localité était une plaine appelée Dappah, à deux heures de route de Calcutta. Les détails qui sont donnés concernent les édifices sur la montagne de granit, mais plus particulièrement concernant un charnier ouvert où les cadavres d’innombrables