Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/247

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

comme elles sont racontées, et le Dr Bataille exploite l’ignorance de cette catégorie de lecteurs attirés par les penny dreadful. Comme produits de l’imagination, ses prestiges sont grossiers et incultes ; en d’autres termes, ils appartiennent précisément à ce genre caractéristique des fictions à gros tirage, et lorsqu’il jure de son honnêteté, il n’obtient pas notre confiance, mais indique le peu de valeur qu’il accorde à cet enjeu.

En même temps, deux raisons m’empêchent d’insister davantage sur cette argumentation. En premier lieu, nous devons nous rappeler que les instructeurs religieux ont enseigné à ses lecteurs illettrés la croyance au pouvoir illimité du diable, et ils ont probablement trouvé dans la nature scandaleuse de ses récits une véritable incitation à les accepter. En second lieu, ma propre position de transcendantaliste me relie plus ou moins à la croyance aux phénomènes surnaturels, et distinguer les limites de la possibilité dans ces questions impliquerait une discussion technique qui n’est pas possible dans ce livre. Il est