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nom d’« amusements mystérieux », qui semble les décrire exactement, et on ne peut qu’être étonné de l’extraordinaire gravité des personnes nerveuses et bien intentionnées qui leur attribuent une si grande importance. Alors qu’elles sont à la marge de la franc-maçonnerie, des écrivains comme M. de la Rive persistent à les considérer comme son cœur et son centre, et c’est aussi dans de telles institutions que lui-même et d’autres personnes de son calibre s’attendent à découvrir le satanisme. Une religion célibataire soupçonne toujours le serpent dans le voisinage de la femme. Il découvre donc le satanisme en le lisant dans les passages qui lui conviennent et en tirant ses propres interprétations entre parenthèses lorsque le texte ne peut pas être manipulé autrement. Ainsi, il obtient des oracles partout et, pour piéger Satan, il trouve la parenthèse tout aussi utile que le cercle de la magie noire ; c’est une méthode de jongleur, mais parmi les anti-maçons français, elle est tenue en haute estime. La question de la franc-maçonnerie féminine, en dehors de l’ordre palladique, est tout à fait en dehors de notre sujet ; son existence en Espagne est de notoriété publique, et je peux déclarer grâce l’expertise de M. Yarker, que dans certains pays