Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/237

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

CHAPITRE XI

LA FRANC-MAÇONNERIE FÉMININE


Le dernier sur la liste de nos récents témoins qui ont contribué à la création de la question de Lucifer — non pas le dernier dans l’ordre chronologique mais le moins important pour notre propos — est M. Abel Clarin de la Rive, auteur de La Femme et l’enfant dans la franc-maçonnerie universelle. Il remplit très justement la promesse qui est contenue dans son nom ; il ne prétend pas être sorti du torrent trouble du satanisme et de la franc-maçonnerie qui entraîne des multitudes dans l’abîme et emporte les temples et les trônes dans son cours furieux. Il s’est contenté, en personne sensée, de rester sur la rive et de regarder la fureur et le courant. Il ne nous dit nulle part dans son récit qu’il est lui-même franc-maçon ; il ne connaît pas personnellement Satan ; il ne s’est pas rendu coupable de magie, ni