a laissé sa chère franc-maçonnerie passer sous la « direction suprême d’un personnage méprisable qui est le dernier des voyous ». En d’autres termes, le signor Domenico Margiotta a une forte aversion pour le signor Adriano Lemmi ; il souhaite sincèrement depuis longtemps que la franc-maçonnerie le « vomisse » de son sein, mais comme cela ne s’est pas produit, le signor Margiotta décida de se vomir lui-même. Or, quand un homme embrasse la religion, il est supposé pardonner à ses ennemis, faire le bien envers ceux qui le haïssent, éviter de propager des scandales, et quand il ne peut pas dire du bien, il devrait se taire ; mais ce n’est pas la faveur spéciale qui a été accordée par la grâce à l’ancien trente-troisième qui est sorti de la franc-maçonnerie pour la dénoncer et la salir.
Les deux récits qui constituent cette dénonciation sont respectivement intitulés Souvenirs d’un trente-troisième : Adriano Lemmi, chef suprême des francs-maçons et Le Palladisme : Culte de Satan-Lucifer dans les triangles maçonniques. Ces deux livres contiennent un réquisitoire violent sur le Grand Maître italien, qui, s’il nous était adressé, ne nous convaincrait pas. Ses points principaux montrent que dans