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a sauvé sa raison, mais il est un meurtrier du bon sens. Pendant ce temps, la Gnose veuve illumine son fils déchu dans les quartiers secrets de Paris, Lyon, etc.

Tout le monde peut convenir avec M. Papus que Jean Kostka est un très élégant écrivain au style discret et peu profond, mais qu’à une exception près, il a dû retenir la fleur de ses phénomènes dans l’ordre de l’esprit, car son livre est plein d’expériences sentimentales et vaines de jeune fille, tandis que, sur le sol léger et spongieux, il a maintenant posé les pavés pesants de sa nouvelle explication, et qu’il avance sur le chemin de la déraison.

Cela mis à part, Jean Kostka était évidemment familiarisé depuis de nombreuses années avec les centres et le fonctionnement de toutes les lumières croisées de la pensée ésotérique qui se croisent et s’entrelacent dans la nuit de la pensée commune française. Il a fréquenté les gnostiques, les martinistes, les albigeois modernes et les spirites ; il semble avoir été identifié à tous, et bien qu’il ne se reproche pas le péché capital de satanisme conscient, il a très bien connu le satanisme