Page:Waite, Devil-Worship in France, 1896.djvu/15

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

il y a le flux et le reflux d’innombrables opinions ; mais, sauf dans les centres mentionnés, il n’y a toujours pas de question de Lucifer ; elle a été mise de côté ou abandonnée.

Cependant, le renouveau de la philosophie mystique, et, en outre, de l’expérience transcendantale, qui est poursuivie en secret à une plus grande échelle que le public ne peut supposer, a rendu bavards de nombreux oracles, et ils sont plus volubiles à l’heure actuelle que le grand bosquet de Dodone. Comme on pouvait s’y attendre, ils murmurent occasionnellement sur des actes accomplis dans l’obscurité qui ont l’air bizarre vus en plein jour. Les termes satanisme, luciférisme, diabolisme, et leurs équivalents, ont été colportés fréquemment, mais assez indistinctement, et dans des accents qui trahissent l’existence d’une forte terreur — les gens ne savent pas tout à fait de quel genre — plutôt qu’une explosion de superstition. Pour être clair, la question de Lucifer a réapparu, et d’une manière qui doit être éminemment déconcertante à l’intelligence moyenne et à l’esprit fort et avancé. Elle a réapparu non pas comme une enquête spéculative sur