Page:Wagner - Souvenirs, 1884, trad. Benoît.djvu/167

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
153
MES SOUVENIRS SUR SPONTINI

de mon cœur j’étais bien plus d’accord avec lui que je n’eusse alors osé l’avouer. Il en résulte ce fait étrange, que cette visite à Dresde, toute déparée qu’elle fut par les traits d’un ridicule presque unique, me remplit le cœur d’une sympathie profonde, mêlée d’une sorte de terreur, pour cet homme dont je n’ai jamais retrouvé le pareil.