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AVANT-PROPOS
DUTRADUCTEUR
III
En effet, en les ordonnant, je m’aperçois que par un phénomène d’ailleurs inconscient, quoique logique, un grand nombre de ces principes se trouvent avoir pénétré déjà, si intimement, toutes les pages, toutes les phrases de cet Aoant-Propos, que j’aurais quelque peine à éviter les redites, à l’égard de beaucoup d’entre eux or, de pareilles redites ne seraient intéressantes qu’à condition d’entrer, cette fols, dans le plus complet détail d’idées auxquelles, en ce cas, une antérieure mention sommaire aurait eu pour but, par exemple, d’éveiller l’esprit du lecteur et c’est une condition que m’interdisent de remplir les limites restreintes du présent Essai. J’aurai suffisamment atteint mon double but &I, d’une part, j’ai contribué (sans avoir la sotte prétention, bien entendu, de leur rien apprendre) à stimuler le zéle, qui languit, des admirateurs compétents de ’Vagner, les uns vraiment trop satisfaits 1 les autres trop découragés si, d’autre part, j’ai su inspirer au Public le désir sincère de s
strulre,
de réparer ses
graves erreurs, par l’étude des trop rares ouvrages que je crois pouvoir lui signaler (1). Ce n’est pas que, ces ouvrages exceptés, les moyens d’information manquent
mais ces moyens d’infor-
mation sont les uns trop disséminés, les autres (toute valeur littéraire
hors de cause) plus significatifs des hypothèses, des thèses, des interprétations personnelles aux Critiques (2~, que des principes <OK~nus ~t) Cf. p. 31, note fi).
(~ Têt est le cas du heau livre de M. ScMCRÉ,Le D~Mf .VtMtca~(Paris, Perrin et C", éd. t. H Rt’cAa~ ~ayncr), livre à consulter, mais~cc prudence.