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circulent infiltrés dans sa sève, y viennent des profondeurs ressusciter en Drames, verdoyer en frondaisons de Songe, s’épanouir en floraisons de Pensée féconde et rédemptrice.

passées scandinaviqucsque tes traductions feuittctécspar Wagner. L’avouerai-je ? un de mes secrets désirs serait que le lecteur, par une étude des vieux poèmes, complétât tes notions qu’aura pu lui donner, sur la profonde Ame septentrionale, la prise de connaissance de L’~iMMfCM

Jtt ~t~MMg. Moi-mèmetravaille depuis deux ans, en ce qui concerne les E<Ma.<,à une Traduction-Éditionfrançaise mais sans doute faudra-t-il beaucoup plus de temps encore pour mettre au point cette tache ardue. Aussi me suis-je euacé (provisoirement,ao moins) devant les interprètes antérieurs de ces sources, quitte à rectifier leur version, parfois, d’une manière qui ne la rendit point méconnaissable.Toutes mes citations des E<M<M appartiennent à la traduction, introuvable et défectueuse, mais seule complète, de M"’ R. ou PucET (Paris, Bibtiothèque Etrangère, t838), ou à cette, déjà bien mcitteure mais fragmentaire, de M.ËMtLEDELAVELETE

(La So~a <fMNt~M~ftt dan< E~a< et

dans le Nord <c< !tM<tHa~ ;Paris, Librairie Internationalo, i86U). Quant à mes citations du At~MM~f-no~j’ai pris soiu de les faire suivre de l’indication des pages de la version française, par le même M. EwtLEDELAVELEYE

(Les yt~MMO<rm,nouvelle édition

Paris, C. Marponet E. Ftammarion s. d.). Un dernier mot pour ceux qui, n’ayant pas présente la chronographioque j’ai donnée (pp. 6M6, (n-68,11-16)de la composition poétique de L’~Ma<’CM, se

demanderaient pourquoi ces extraits des sources, rares pour le Rheingoldcommepour La ~o~Mf~, sont multipliés pour Siegfried et pour le Cr<~M<CM~-J<’<-DK’<M’.

A ces oublieuxje répéterai que

Le Cr~tMCM~M-D~M~ est le Drame, D’ABORDONtQOE,duque : est issue la Tétralogie (il s’appelait alors St~/Wcd’t T~ un

intérêt spéciat s’attactte donc à la genèse d’no semblable générateur N’en est-il pas de même pour S~/rM, qui, sous le nom du < JeMKC~<e~rt<’<< fut dramatisé après le Cr~MCM~, afin

que fussent montrés, sur la scène, certains épisodes, seulement racontés dans la conception primitive ? Et ainsi de suite : Wagner, parti de la tegcnde nationale du Nt~/Knye-Mo~,qui, nécessairement, devait le frapper d’abord, s’est avancé peu à peu dans les origines mythologiques do cette légende, pour aboutir, cuttn, :t L’« 

R/ttM. On comprend, dans ces conditions, que les Kotes, rotativesa ta gencse de t’tt’uvre. soient infinimentmoins nombreuses et pour le Proto~ue, et pour La ~Va/M~.