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sur ce pied-là que la Compagnie le compte aux factoreries externes, qui reçoivent leur riz par Batavia, telles que celles de Malacca, du Cap de Bonne-Espérance, de Ceylan et de la côte occidentale de Sumatra ; chaque coyang perd donc cinq cents livres par cette manutention.

Le sucre se vend par canastres, dont chacun pèse trois picols ; par conséquent chaque canastre est de trois cent soixante-quinze livres net, ou quatre cents, ou quatre cents cinq livres brut.

Le ganting est une petite mesure de riz de treize livres et demie.

Chaque balle de café qu’on expédie de Batavia en Hollande pèse deux cent cinquante-deux livres ; et la balle de canelle est de quatre-vingt livres.

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