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Vers 232. — Édition de 1756, et manuscrit :
* Lorsqu’il se vit vendu par sa donzelle ; | |||
Ces pots brillants dont Gédéon défit | |||
De Madian la cohorte infidèle, | |||
Le couperet de la belle Judith, | |||
Cette beauté si saintement perfide | |||
Qui, pour le ciel galamment homicide, | |||
* Son cher amant massacra dans son lit ; | |||
Plus d’abondant le sacre cimeterre | |||
Dont le Sauveur voulut que s’armât Pierre, | |||
Pour lui donner une oreille à guérir, | |||
Et de son nom laisser un souvenir. | |||
À ces objets Jeannette émerveillée, | |||
* De cette armure…(K.) |
Vers 281 : | |||
Ces fiers Bretons, ayant bu largement. | |||
Vers 286 : | |||
L’autre ronflait, près d’un page étendu. | |||
Vers 348 : | |||
* Du monde entier feraient bientôt le tour ! | |||
Cette nuit même, et dès le point du jour, | |||
* Jeanne et Denis… |
Vers 390. — Édition de 1756 :
Un roi de France a toujours dans le cœur. | |||
Malgré le vice, un très-grand fonds d’honneur ; | |||
Vous l’avez vu dernièrement, mes frères, | |||
Lorsque Louis, se dérobant des bras | |||
De la beauté[1] qu’exorcisait Linières[2], | |||
Au bord du Rhin, du fond des Pays-Bas, | |||
Vint cogner Charte et braver le trépas. | |||
* Du vieux soldat le discours pathétique | |||
Frappa le prince, amant des blonds appas, | |||
* Ainsi qu’un ange…(K.) |
Vers 442 : | |||
Jeanne lui dit : « Ô grand prince, ordonnez.(R.) | |||
Vers 420 : | |||
Oh ! bien, dit-il, si vous en savez tant.(R.) |