Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome8.djvu/556

Cette page n’a pas encore été corrigée

o38 STANCES.

��XXXII.

A MONSIEUR HOURCASTREMÉ.

(1770)

L'amour, les plaisirs, et l'ivresse, Respirent dans vos^heureux chants ; C'est parmi la vive jeunesse Qu'Apollon se plut en tout temps.

Les muses, ainsi que les belles. Dédaignent les vœux d'un vi_eiJlard ; En vain j'irais même après elles. Et vous les fixez d'un regard.

Elles cessent de me sourire ; Vos accords ont su les charmer. Eh bien ! je vous cède ma lyre ; Vos doigts sont faits pour l'animer.

��XXXIIt.

��A MONSIEUR DE = ^

En réponse à des vers que la Société de la Tolérance de Bordeaux lui avait envoyés.

��Vous voulez donc édifier Un beau temple à la Tolérance! Je prétends y sacrifier : C'est ma sainte de préférence.

A vos maçons j'ai pu fournir Des pierres pour cette entreprise

�� �