Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome8.djvu/521

Cette page n’a pas encore été corrigée

AVERTISSEMENT

��Dans une édition complète des Œuvres, ce sont les doubles emplois (pi'il faut éviter autant que possible. Dans quelques éditions, le nombre des pièces intitulées Stances s'élève à plus do cinquante. Je n'en donne (jue trente-huit; encore y a-t-il deux doubles emplois (les numéros VIII etX, voyez pages 512 et 515). Les stances à M""" du Châtelet, envoyées dans une lettre à Cideville, du 1 1 juillet 1741 , y sont imprimées telles qu'elles existaient alors. L'auteur les a depuis corrigées et augmentées. Les Stances au roi de Prusse sont rapportées dans les Mémoires pour servir à la Vie de M. de Voltaire. Ces deux doubles emplois étaient nécessaires.

Voici au reste l'indication des lettres oii se trouvent les stances que je n'ai pas ré|)étées ; je les désigne ici par leur premier vers.

Que devient, mon clier Cideville.

(Lettre à Cideville, 20 septembre 1735.)

Tandis qu'aux fanges du Parnasse.

(ATressan, 21 octobre 1736.)

O nouvelle effroyable! ô tristesse profonde!

(A Frédérîc, 26 février 1739.)

Ombre aimable, charmant espoir!

(Au même, 26 octobre 1740.)

Vous en souviendrez-vous, grand homme que vous êtes? (Au même, 31 décembre 1740.)

Je croyais autrefois que nous n'avions qu'une âme. (Au même, 5 mai 1741 .)

Vous dont le précoce génie.

(.Vu même, 3 août 1741.)

Quels talents divers elle allie !

(A des Issarts, 19 février 1750.)

Brisons ma lyre et ma trompette.

(A Cideville, 19 février 1756.)

Qui les a faits ces vers doux et coulants.

(A M™e du Bocage, 2 février 1759.)

En tout pays on se pique.

(A Albergati, 19 juin 1760.)

�� �