262 VARIANTES DU CHANT X.
Vers 226. — Édition de 1723 :
De leur goût dédaigneux irritaient la paresse.
Vers 244. — Édition do 1723 :
Mais ce mets détestable avança leur trépas,
- Et ce repas pour eux fut le dernier repas.
Ces deux vers sont imités d'une imprécation de Pénélope dans l'Odyssée, livre IV, vers 683-86, que Boileau, dans le Traité du sublime, chap. xxiii, avait ainsi traduite :
Fasse le juste ciel, avançant leur trépas, Que ce repas pour eux soit le dernier repas!
Vers 276. — Édition de 1723 :
Semble étouffer en eux tout'autrc sentiment.
Vers 292. — Édition de 4723 :
Plein d'amour, de regret, de rage, de pitié.
Vers 298. — Édition de 4723 :
Les tyrans ou la faim l'auront bientôt ravie.
Vers 308. — Édition do 1723 .
Porte son corps sanglant auprès de son foyer.
Vers 313. — Édition de 1723 :
Leur transport est égal à la cruelle joie.
Vers 342. — Édition de 1723 :
Que la Ligue, à son gré, s'immole ces victimes; Que Pcllevé, Mendozze, et Mayenne, et Nemours, Des peuples, sans pitié, laissent trancher les jours; De mes sujets séduits qu'ils comblent la misère; Ils en sont les tyrans, j'en dois être le père.
Vers 361. — Édition de 1723 :
Au seul son de sa voix ses troupes obéissent.
Vers 393. — Édition de 1723 :
Guincestre, dont cent fois la fatale éloquence •Ralluma tous ces feux qui consumaient la France; Guincestre se présente à ce peuple abattu. Combattant sans courage, et chrétien sans vertu. H A quel indigne appât, etc.
Guincestre était curé de Saint-Gcrvais.
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