VJ{} VARIANTES DHS PÉLOPIUES.
Page 122, avant-dernier vers, — L’édition stéréotype porte :
Il est temps qu’eu ces lieux l’iieurcuse Hippodamio Voie cutiu sa famille en sos bras réunie.
Page 1 23, vers 7 :
À ce trouble éternel qui suit le diadème.
Ilnd., vers 10. — Édition stéréotype de Didot :
Je vous dispute encore à mon frère, à nos dicu\.
Page 125, vers 9. — Même édition :
Allez, et, s’il se peut, rendez les dieux propices.
Page 127, vers 3 :
On condamne son crime : il lo doit expier ; Et vous, s’il se repent, vous devez l’oublier.
Celte variante a été reportée dans l’édition stéréotype.
IhicL, avant-dernier vers :
Que je leur cache à tous. Mon cœur peut se tromper ; mais dans Hippodamie Je crains de rencontrer ma secrète ennemie. Polcmon n’est qu’un traître, et son ambition Peut-être de Thyeste armait la faction.
IDAS.
Tel est souvent des cours le manège perfide ;
La vérité les fuit, l’imposture y réside :
Tout est parti, cal.ale, injure, ou trahison ;
Vous voyez la discorde y verser son poison.
Mais que craindriez-vous d’un parti sans puissance ?
Tout n’est-il pas soumis à votre obéissance ?
Ce peuple sous vos lois ne s’est-il pas rangé ?
Vous êtes maître ici.
ATnÉE.
Je n’y suis pas vengé. J’y suis en proie, Idas, à d’étranges supplices.
Ces deux derniers vers ont été reportés dans le texte de l’édition sté- réotype.
Page 128, vers 22. — Édition stéréotype :
L’amour n’habite point au milieu dos furies.
Ibid., vers 33 :
Non ; ma fatale épouse, entre mes bras ravie. De sa place en mon cœur sera du moins bannie