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TllVKSTK.
\"iniporto. il faut ([uMl C('do à la n(cessit(. r/(tait le seul nioNeii (du moins j’ose le croire) Qui (le nous ti’ois enfin pûl r« )arer la gloire.
KKOPE.
Il est maître d’Argos ; nous sommes dans ses mains.
THYESTE.
Dans l’asile où je snis les dieux sont souverains.
EU OPE.
Kli ! qui nous rc’îpondra que ces dieux nous protègent ? Peut-être en ce moment les p(! ’rils nous assiègent.
THYESTE.
Ouels p(! ’rils ? entre nous le peuple est partag(, Et même autoui- du temple il est d(jà rangC\ Mes amis rassemblés arrivent de Mycène, Ils viennent adorer et défendre leur reine : Mais il n’est pas besoin de ce nouveau secours : Le ciel avec la paix veille ici sur vos jours ; La reine et Pob’mon, dans ce temple tranquille, Imposent le respect qu’on doit à cet asile.
KROPE.
Vous-même, en m’enlevant, l’avez-vous respecté ?
THYESTE.
Ab ! ne corrompez point tant de félicité. Pour la première fois la douceur en est pure.
SCÈNE IL
TÎIPPODAMIE. 1’ : ROPE, THYESTE, POLÉMON, MÉGARE.
HIPPODAMIE.
Enfin donc désormais tout cède à la nature. Bannissez, Polèmon, ces soupçons recherchés, A vos conseils prudents quelquefois reprochés. Vous venez avec moi d’entendre les promesses Dont mon fds ranimait ma joie et mes tendresses. Pourquoi tromperait-il par tant de fausseté L’espoir qu’il vient de rendre au sein qui l’a porté ? Il cède à vos conseils, il pardonne à son frère, Il approuve un hymen devenu nécessaire ;