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VARIANTES DES GUÈBRES. î>69

Page 529, vers 9. — Les cinq éditions de 1769 portent :

Être sacrifié. Viens, je commande ici ; résous-toi de me suivre.

LE JEUNE ARZÉHON.

Puis-jc la voir enfin ?

m AD AN.

Tu peux la voir et vivre ; Calme-toi, malheureux.

LE JEUNE ARZÉMON.

Ail, seigneur, pardonnez, etc.

Page 531, vers o. — Dans les éditions antérieures à 1771, on lit : Toi, soldat des Romains que l’infâme esclavage…

M É G A T I s E.

Cher ami, que veux-tu ? Les erreurs du jeune âge.

Un esprit inquiet, trop de facilité,

L’occasion trompeuse, enfin la pauvreté,

Ce qui fait les soldats m’a jeté dans l’armée.

LE JEUNE ARZÉMO N.

Ton âme à ce service est-elle accoutumée ? Tu pourrais être libre en suivant tes amis.

Page 533, dernier vers. — Dans ! es éditions antérieures à 1771, il y a :

Peux-tu le demander ? Ah ! je la vois venir. Crains de lui faire entendre L’effroyable secret que tu viens de m’apprendre… Ciel ! ô ciel ! puis-je croire un tel excès d’horreur ! Iradan !

Page 535, vers 4. — Les éditions antérieures à 1771 poilci.l :

ARZAME, au jeune Arzémon. Pour sortir d’Apamée il n’attend que son frère… D’où vient que tu pâlis ?… Quel trouble involontaire Éclate dans tes yeux de larmes inondés ?

Ibid., vers 9. — Dans les éditions de 1709, on lit : Près de notre oppresseur ! (B.)’

Page 543, vers 9. — Dans les éditions antérieures à 1771, il y a ; Emporté, mais sensible ; ardent, mais généreux. (B.)

Page 549, vers 3. — x\vant 1771, on lisait :

Eh bien ! faut-il livrer ce malheureux coupable ;