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VARIANTES

DE LxV TRAGÉDIE DES SCYTHES.

Page 283, dernier vers :

Pouvais-tu rechercher…

Voyez la lettre à Daniilaville, du 4 mars 1767.

Page 284, vers 1 :

Nous marchions dans la nuit, et d’aljîme en aljîme. Voyez la lettre à Damilaville, du 4 mars 1767.

Ibid., vers 31 :

Jamais de tristes soins sa paix n’est altercc. La franchisc qui règne en ces déserts affreux Fait mépriser la cour et ses fers dangereux.

Page 289, vers Va :

Si la Perse a pour toi des charmos si puissants, Je ne te contrains pas ; quitto-moi, j’y consens, J’en gémirai, Sulma ! Dans mon palais nourrie, Tu fus en tous les temps le soutien de ma vie ; Mais je serais barbare en t’osant proposer De supporter un joug qui commence à peser.

Page 290, vers 6 :

Hélas ! voux-tu m’ôter, en croyant m’éblouir, Ce malheureux repos dont je cherche à jouir ? Cesse de m’affliger. Mon père veut un gendre : 11 ne l’ordonne point, mais je sais trop l’entendre.

lOid.. vers 9. — Dans la lettre à d’Argental, du 13 avril 1767, on lit

Va, si j’aime en secret les lieux où je suis née. Mon cœur doit s’en punir, il se doit imi)oser Un frein qui le retienne et qu’il n’ose briser : N’en demande pas plus…