466 VARIANTES DOLYMPIE.
Page 109, vers 13 :
Voyez si j’ai du faire un pareil sacrifice.
Page 1 13, vers 5. — C’est ainsi qu’on lit dans l’édition originale, dan* celle de Genève, 1763. dans l’édition in-4o', et dans l’édition de 1775. Les-deux autres éditions de 1763, celle de 1774 et celles de Kehl, portent :
Nos rits et nos mystères. (B.)
Page 114. vers 10 :
Vous frémiriez vous-même…
Ibid., vers 23. — Ces deux derniers vers sont conformes à l’édition de Kehl. Dans trois éditions de 1763, et dans celle de 1774, on lit :
Tel est l’ordre éternel à qui je m’abandonne. Que la terre est coupable et que le ciel pardonne.
Ibid.j vers 26. — Toutes les éditions antérieures à celle de Kehl portent :
Si vous êtes instruit qui fit périr son maître.
Ibid., vers 29 :
Quand les yeux d’Alexandre à peine encor fermés.
Page Mo, premier vers :
Sur mille corps sanglants il la jeta mourante.
Page 117, vers 28 :
J’ai cru dans ma retraite éviter mon malheur.
Page 120. vers 24. — Ce vers est conforme à l’édition de 1763 et à celle de 1774. Dans l’édition de Kehl, on lit : }ne va, au lieu de : va me.
Page 121, vers 3 :
Antigène, les siens, les peuples, les armées.
Ibid., vers 9 :
Ah ! mon cœur déchiré me l’a dit devant vous.
On lit ainsi dans une édition de 1763 et dans celle de 1774.
Ibid., vers 14. — Les quatre vers précédés d’une étoile sont supprimés dans l’édition de 1774.