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Page 436, ligne 14. — Dans les éditions autres que celle que j’ai prise pour copie, la scène se terminait ainsi :

… Polly, c’en est fait ; viens m’aider à cacher la dernière de mes douleurs.

POLLY.

Qu’est-il donc arrivé, ma chère maîtresse, et qu’est devenu votre courage ?

LINDANE.

On en a contre l’infortune, l’injustice, l’indigence ; il y a cent traits qui s’émoussent sur un cœur noble ; il en vient un qui porte enfin le coup de la mort. (B.)

Page 437, ligne 13. — Dans les différentes éditions, on lisait de plus :

… devant des gens de conséquence ? (B.)

Ibid., ligne 21. — Dans l’édition originale, et dans beaucoup d’autres, il y a :

… votre rivale, pour ses mauvaises intentions, dans la prison où j’ai déjà été pour mes feuilles. (B.)

Ibid., ligne 24. — Cette phrase : Je n’aime, etc., est supprimée dans beaucoup d’éditions. (B.)

Page 438, ligne 2. — Dans les éditions autres que celle dont je me suis servi pour copie on lisait de plus :

Tu n’es pas un imbécile, comme on le dit. (B.)

Ibid., ligne 22. — On lisait dans l’édition originale et dans beaucoup d’autres :

… de bassesse ; il me ferait, je crois, haïr la vengeance. Je sens que je prendrais, etc. (B.)

Page 440, ligne 40. — Dans la première édition il y avait :

J’aime qu’on se retire ; je me retirerai avec elle. Qu’on me la fasse venir.

Les mots que j’ai imprimés en italique, et que Voltaire a supprimés, avaient été critiqués par Fréron, Année littéraire, 1760, IV, 107. (B.)

Page 442, ligne 9. — Dans les éditions autres que celle que j’ai suivie on lit de plus ici :

Et milord ne vient point ! (B.)

Page 444, ligne 4. — Dans les éditions ordinaires on lit :

… mortes de froid et de faim. (B.)

Page 445, ligne 16. — Dans les éditions autres que celle qui m’a servi de copie on lisait :

Monsieur, elle craint que vous ne l’aimiez. (B.)