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Page 429. ligne 10. — Dans toutes les éditions, autres que celle qui m’a servi de copie, on lit :

Je conclus qu’elles meurent de faim. (B.)

Ibid., ligne 13. — Cette dernière phrase fut ajoutée à la représentation. (B.)

Ibid., ligne 22. — Dans toutes les éditions, autres que celle qui m’a servi de copie, il y a :

…et un cœur de boue. (B.)

Ibid., ligne 37 — Dans les éditions ordinaires on lit de plus ici :

Je veux bien vivre de pain et d’eau. (B.)

Page 430, ligne 40. — Cette phrase et les quatre qui la suivent n’étaient pas dans l’édition de 1760. (B.)

Page 432, ligne 23. — Les éditions autres que celle que j’ai prise pour copie portent :

… me paraît tout votre fait. (B.)

Ibid., ligne 41. — Dans les éditions autres que celle à laquelle je me suis astreint, on lit de plus ici :

LINDANE.

Ah, Polly ! il est deux heures, et milord Murray ne viendra point !

FABRICE.

Eh bien ! madame, ce milord dont vous parlez, je sais que c’est l’homme le plus vertueux de la cour ; vous ne l’avez jamais reçu ici que devant témoins : pourquoi n’avoir pas fait avec lui, honnêtement, devant témoins, quelques petits repas que j’aurais fournis ? C’est peut-être votre parent ? (B.)

Page 434, ligne 8. — Les éditions autres que celle que j’ai suivie portaient :

Eh bien ! madame, rentrez donc toute dans vous-même. (B.)

Ibid., ligne 16. — Les éditions de 1760 contiennent de plus ces mots :

… sa suivante présente. (B.)

Page 430, ligne 2. — Ce couplet et les cinq qui le suivent ne sont pas dans les éditions de 1760 ; ils n’ont été ajoutés que plusieurs années après.(B.)

Ibid., ligne 41 — Dans les éditions ordinaires on lisait de plus :

Ne le gardez pas, au moins ; il faut le rendre, ou je… (B.)