VARIANTES
DE L’ORPHELIN DE LA CHINE.
Page 305, vers 28. — Dans les éditions de iîbo, Zamti continue ainsi son récit :
Le pillage et le meurtre environnaient ces lieux. Ce prince infortuné, etc. (B.)
Page 309, premier vers. — Éditions de 1755 :
Vont encore en ces lieux signaler son courroux.
Page 318, vers W. — Éditions de 1755 :
Comblez-en les horreurs, trahissez à la fois Et le ciel et l’empire, et le sang de vos rois.
Page 320, vers ’15. — On lit dans les éditions de Duchesne :
Ces prodiges des arts, consacrés par les temps, Échappes aux fureurs des flammes, du pillage.
D’ollaire lui-même a signalé cette version comme défectueuse. Voyez Théâtre^ tome Ier, page 2. (B.)
Page 344, vers 2. — Dans les premières éditions, immédiatement après ce vers, on lisait :
Remplissons de nos rois les ordres absolus : Je leur donnai mon fils ; je leur donne encor plus, Libre par mon trépas, va fléchir un Tartare ; Passe sur mon tombeau dans les bras d’un barbare.
À quelques mots près, ces vers se retrouvent plus bas.
Ibid., vers 20. — Les premières éditions :
Tu serviras de mère à ton roi malheureux.