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IliS VARIANTES D’ORESTE.

l’âge 109, vtMs 21 :

Que je te crains !

Piigc 1 10, premier vers :

P A M Jl È N E.

Vous, soigneur ! 6 destins ! ô céleste justice

Vous, lui sacrifier ! Parmi ses ennemis,

Je me tais… Mais, seigneur, mon maître avait un fils.

rage 111, vers 1 1 :

KG ISTHE.

Vous l’avez donc voulu ; votre crainte inquiète A des dieux vainement consulté l’interprète ; Leur silence ne sert qu’à vous désespérer : Mais Kgisthe vous parle, et doit vous rassurer. À vous-même opposée, et par vos vœux trahie, Craignant la mort d’un fils et redoutant sa vie, Votre esprit ébranlé ne peut se raffermir. Ah ! ne consultez point, sur un sombre avenir, Dos confidents des dieux l’incertaine réponse. Ma main fait nos destins, et ma voix les annonce. Fiez-vous à mes soins, etc.

Ibid., vers ’16 :

De vos nouveaux desseins, etc.

Page 114, vers 17. — C’e^t ainsi qu’on lit dans les éditions de 1750, ’1751^ 1752, 1754,1756, 1768 (in-4"), H’o, et sans doute dans beaucoup d’autres. Les éditeiu-s de Kehl ont mis : Je L’aimai. ’B.)

Page M 7, vers 30 :

Venez à ce tombeau, vous pouvez l’honorer ; Et l’on ne vous a pas défendu d’y pleurer. Cet étranger, etc.

Page 119 :

SCÈNE PREMIÈRE

DE l’Édition de 1750,

QUI RÉPOND ÂU.\. TROIS PREMIÈRES SCÈNES DE CETTE ÉDITION.

ORESTE, PYLADE, PAMMÈNE.

(Un esclave, dans l’enfoncement, porto une urne et une épée.)

PAMMÈXE.

Que béni soit le jour si longtemps attendu, Où le fils de mou maître, à nos larmes rendu.