du sieur du Laurens est défendu à Paris ; mais on espère que la Comtesse de Givry aura permission de paraître.
Dernière leçon du commencement de la dernière scène du troisième acte[1].
J’ai mérité la mort…
Je dois tout pardonner, puisque je suis heureuse :
Tu m’as rendu mon sang.
Où me conduisez-vous ?
Vous, ma mère !
[2] !
Oui, reconnais ta mère ; oui, c’est toi que j’embrasse, etc.
Avouez, mon cher et illustre maître, que les pauvres mathématiciens à double courbure ont bien raison de se louer de vos libraires huguenots ; ces gens-là traitent les ouvrages de géométrie comme ils feraient le Catéchisme du docteur Vernet, ou le Journal chrétien : ils en font des papillotes, et en sont quittes après pour dire qu’ils les ont perdus. Je ne trouve pas mauvais qu’ils se frisent, quoique leur patriarche Calvin l’ait défendu ; mais j’aimerais autant que ce fût avec la Religion vengée[3] du Père Hayer, récollet, qu’avec mes œuvres. Je vous prie pourtant de les engager à parler encore