Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome32.djvu/422

Cette page n’a pas encore été corrigée

Ai APPENDICE.

��XXXII '.

��IMPROMPTU

Al PRINCE DE BEAUVAU 2 .

\oïïo présence est une fête

Que Ton doit célébrer dans peu ;

11 en coûte un écu par tête :

Les grands plaisirs coûtent bien peu.

��XXXIII'.

��A M. PALLL

INTEND A N T DE N E V E R S ,

QUI AVAIT ENVOYÉ D F. S CYGNES A M""' I. A MARQUISE I) l C II AT E LE T , l'Olli LE BASSIN DES JARDINS DE CIREY.

Le cygne est un oiseau que j'aimerai toujours ; Virgile en était un ; l'aise, le tendre Horace Lui-même s'est nommé le cygne du Parnasse ; Le pinceau de l'Albane en ses heureux contours, Par deux cygnes brillants qu'il attelle avec grâce,

Conduit la mère des amours. Je sers, vous le savez, cette grande déesse : Le Parnasse me compte entre ses habitants : J'avais des droits à vos présents Par mes vers et par ma tendresse.

��1, Pièces inédites de Voltaire, 1820.

2, Il faudrait connaître Yà-propos de ces vers. Il parait qu'il s'agit d'une fête publique, et qu'une dame avaii chargé Voltaire d'aller engager le prince de Bcan- vau à s'y rendre. (Xote du premier al Heur.)

'■'. l'ières inédites de Voltaire, 1820.

�� �