m APPENDICE.
I \i STUS.
Je n'exigerai rien que le ciel ne commande, Rien qu'aux cœurs généreux la vertu ne demande. Arracher à ses fers un monarque enchaîné, Punir dans ce palais le crime couronné, Venger de ses Trais rois les ombres gémissantes, Faire vivre les lois sous la force expirantes : Voilà ce que les dieux ont daigné m'inspircr ; Voilà ce que de vous Faustus ose espérer.
ROMLLUS.
Je vois d'un tel projet la vertu tout entière ;
Je cherche à ces grands coups quelque digne matière,
Et ne vois point ici ces lois à soutenir,
Ces héros à venger, ces tyrans à punir ;
Tout présente à mes yeux un calme favorable 1 .
��II 2 . LETTRE
AU NOM DE MADAME LA MARÉCHALE DE VILLARS A MADAME DE SAINT-GERMAIN.
Du château de Sully, 1719.
A vous de qui les sentiments, L'esprit, la probité, la douceur et les charmes, Font que tous les mortels, en vous rendant les armes,
Sont vos amis ou vos amants.
��1. Il est apparent que dans la suite de cette scène Faustus dévoilait à Romulus le mystère de sa naissance. (Noté du premier éditeur.) "■1. Pièces inédites de Voltaire, 1820.
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