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314 REMARQUES SUR LES HORACES.

Les lecteurs raisonnables trouveront l)on, sans doute, qu'on ait ainsi remarqué avec une équité impartiale les grandes beautés et les défauts de Corneille, et qu'on poursuive dans cet esprit. Un commentateur n'est pas un avocat qui cherche seulement i\ faire valoir en tout la cause de sa partie; et ce serait trahir la mémoire de Corneille que de ne pas imiter la candeur avec la- quelle il se juge lui-même. On doit la vérité au i)ublic.

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