ACTE III, SCÈNE II. 481
MADAME CROLI’II.LAC,
Oui.
EUPHKMON FILS.
Ciol ! Jiiadaiiio, de grAco, Cet Euphémon, cet honneur de sa race, Que ses vertus ont rendu si fomeux, Serait…
MADAME CROUl’lLLAG.
Eh oui.
EUPHÉMON FILS.
Quoi ! dans ces mêmes Jieux ?
MADAME GROIM’ILLAC.
Oui.
EUPHÉMON FILS.
Puis-je au moins savoir… comme il se porle ?
MADAME CROUPILLAC,
Fort bien, je crois… Que diable vous importe ?
EUPHÉMON FILS.
Et que dit-on… ?
MADAME CROUPILLAC.
De qui ?
EUPHÉMON FILS.
D’un fils aîné Qu’il eut jadis ?
MADAME CROUPILLAC.
Ah ! c’est un fils mal né, Un garnement, une tête légère, Ln fou fieffé, le fléau de son père, Depuis longtemps de débauches perdu, Et qui peut-être est à présent pendu.
EUPHÉMON FILS.
En vérité… je suis confus dans l’àme De VOUS avoir interrompu, madame.
MADAME CROUPILLAC.
Poursuivons donc. Fierenfat, son cadet, Chez moi l’amour hautement me faisait ; Il me devait avoir par mariage.
EUPHÉMON FILS.
Eh bien ! a-t-il ce bonheur en partage ? Est-il à vous ?
MADAME CROUPILLAC.
Non, ce fat engraissé
Théâtre. II. 31