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360 VARIANTES DE LA ISIOUT DE CÉSAR,

  • Page 329, vers 13. — Édition Laniaro :

Mais pour nous asservir.

Ibitl., vers IS. — lùiilioii Laiiiare :

Tu viens de me frapper.

Page 330, vers o. — Dans les éditions i)récédentes, il y avait : Ah ! cesse dune d’aimer l’orgueil du diadème.

Page 333, dernier vers. — L’édition furlive el l’édition Lamare portent : Dans la cliute des lois.

Page 334, vers 2. — Ces éditions portent : Mon audace.

Ibid.j, vers 18. — Edition furtive :

Quel est ce trouble ? Tu parais interdit. Qu’a-t-on fait ? qu’as-tu vu ?

CIMBEB.

Le secret des tyrans est enfin reconnu. César étant au temple, etc.

Page 335, vers ’14. — Edition Lamare : Et pleurer de fureur.

Page 336, vers 6. — L’édition furtive et l’édition Lamare portent : Fait cncor quelque horreur.

Page lî37, vers 19. — Ce vers et les trois qui le suivent ne sont ni dans l’édition furtive ni dans rédition Lamare ; mais on les trouve dans la seconde édition faite à Amsterdam en 1736. (B.)

Page 347, vers 29. — L’édition furtive et l’édition Lamare portent : L’univers ne m’est rien.

Page 349, Vers 20. — Dans l’édition furlive :

Tu verras qu’un État maître de tant de rois

Se nuit par sa grandeur et tomhe par son poidi.

Dans nos temps corrompus, etc.

Ibid., dernier vers. — Les éditions furtive et Lamare portent : Pour affermir sa tôto.