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VAUFANTES D’A DELA I I)K \)V (i ri-SCI.I N. I3<)

l’ai,’(' 122. vors G. — Ce vers n’est point dans rédition de 170(3 ; je le donne tel (|iril est dans les éditions de 1768, 177.’), et dans toutes relies (|ui ont paru depuis. i"eu l)eeroi\ proposait de iiK’llrc :

des m : iJns de ce barbare. (B.)

Ibid., scène m. — Celte seène de huit vers n’est |)as dans l’édition île I7(i(i.,B. ;

Page I2i. vers lo. — Édition de 1760 :

L’amitié des Anglais est toujours incertaine ;

Les étendards de France ont paru dans la plaine ;

Et vous êtes perdu, etc.

Page I2.’j. vers 8. — Variante de l’édition de I76() : Contre Nemours ? Ah, ciel !

YEN DO ME.

Nemours est-il mon frère ? 11 me livre à son maître, il m’a seul opprimé, Il soulève mon peuple ; enfin il est aime ; Contre moi dans ce jour il commet tous les crimes. Partage mes fureurs, elles sont légitimes ; Toi seul, après ma mort, en cueilleras le fruit. Le chef de ces Anglais, dans la ville introduit. Demande au nom des siens la tête du parjure…

lOid., vers 27 :

c G u c Y.

Il a payé bien cher ce fatal sacrifice.

VENDÔME.

Le mien coûtera plus ; mais je veux ce service : Oui, je le veux ; ma mort à l’instant le suivra ; Mais du moins avant moi mon rival périra.

cou G Y, après un long silenco. .lobéirai, soigneur : soit crime, soit justice, etc. ^

Page 126, vers 2. — Édition de I7()6 :

Je me rends, non à vous, non à votre fureur. Mais à d’autres raisons qui parlent à mon cœur.

Page 1.}k vers 10. — iùlilion de 1766 :

qui me rendez la vie.